vendredi 27 juillet 2012

BRUXELLES ou KABOUL ?

BRUXELLES ou KABOUL ?
C'est clair: la BELGIQUE devient AUSSI un État de plus en plus policier et répressif.
Il n'y a plus qu'à la police que l'on recrute par centaines (Je n'ai cependant pas dit qu'il ne faut pas de policiers ...). Dans ce pays de quelque 11 millions d' âmes, nous aurons bientôt 2 flics au km2 et les effectifs ne sont toujours pas réalisés ... Le prétexte: la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la criminalité (petite et grande) grandissante. C' est sans doute le prix que nous devons payer aux manigances de l'Amérique et de ceux-là qui voulaient "libérer" les Pays de l' Est du "Communisme" et qui sont aujourd'hui intégrés, annexés, à l' EURO-DICTATURE capitaliste, frontières ouvertes. En fait aussi,  l'introduction du terrorisme islamistes en Europe, nous la devons en grande partie à la politique de Tony BLAIR lorsqu'il soutenait comme un caniche les aventures et agressions guerrières en Irak et en Afghanistan ...
On engage des flics, et la Milquet (Cdh) crie sa grande satisfaction: 70 policiers en plus à BRUXELLES et ça fait 170 arrestations supplémentaires... , clame-t-elle à la télé ! Belle image, belle idéologie de la répression ! Il y a là de quoi ouvrir des prisons et engager des gardiens supplémentaires en ... HOLLANDE où nous envoyons une partie de nos détenus, à grands frais, faute de places chez nous ...
On engage des flics, et cela ne suffit pas. Certains poussent, notamment chez les "libéraux" à la présence de militaires en armes dans nos rues. Il y a là de quoi réjouir ceux qui désapprouvaient l'instauration de la loi martiale en POLOGNE sous JARUZELSKet un certain SARKOZY qui voulait nettoyer les banlieues françaises au karcher.
Les 2 dernières fois que l'on a vu les militaires réquisitionnés dans nos rues en BELGIQUE, c' était :
-en 1960-61, lorsque le Psc-Cdh Gaston EYSKENS voulaient maintenir l'ordre établi, aux côtés de la gendarmerie, contre le million de travailleurs en grève pendant plus d'un mois, contre sa fameuse Loi unique.
-pendant la dernière guerre, lorsque des militaires raflaient les Juifs, traquaient les résistants, "terroristes" de l'époque. Mais c' étaient des militaires d'une armée d'agression et d'occupation nazies et fascistes...
Ce matin, une espèce de cinglé téléphonait à la Rtb-f pour préciser que nos militaires belges participent déjà à des opérations de polices à KABOUL ...
Alors pourquoi pas chez nous?  BRUXELLES = KABOUL ???  
Rien d' étonnant s'il est aussi question de voter une loi contre le "radicalisme" ???   C'est quoi le radicalisme ?  Jusqu' où vont ses limites ?    Qui est radical ? Peut être qu'il ne restera plus que les béni-oui-oui applaudissant le système qui auront droit au chapitre ... ?
Heureusement, la BELGIQUE serait encore une "Démocratie", même si elle avance elle aussi vers le McCarthysme ...
Il serait peut être un jour intéressant que l'on se penche sur le rôle joué par les médias (surtout télévisés) dans la tête de nos ados et même chez les adultes: les films et téléfims-navets anglo-ricains, basés sur les guerres, les conquêtes, le terrorisme, la criminalité, fbi, cia, kgb... Les Usa: le bourrage des crânes admiratif en faveur des "valeurs" de ce pays criminel et policier est permanent, quotidien, intensif... depuis 65 ans. Ajoutons-y tous ces jeux internet où nos gosses s'amusent à tuer massivement et au vite, et le tour est en partie joué ...
Pour revenir à l'origine des récents évènements à Bruxelles et la "justification" de certains contrôles policier, il devait être clair que le vote quasi unanimité des parlementaires de nos partis "démocratiques" de la loi liberticide interdisant le port du voile créerait plus de problèmes et de dangerosité qu'il n' en résoudrait.
A ce propos, je rappelle, sans être devin, que j' écrivais ceci sur mes sites le 19 mai 2011:
BELGIQUE: la Chambre des Représentants vote pour la seconde fois une loi liberticide.
Sous prétexte de sécurité, à l'unanimité, moins un contre, les députés ont voté la proposition de loi "visant à interdire le port de tout vêtement cachant totalement ou de manière principale le visage".
C'est une loi hypocrite, répressive, liberticide, votée dans un but uniquement politique, imaginée par les partis "démocratiques" suivants: Ps, Cdh et Mr.
Hypocrite et lâche: c' est le port de la burqa et niqab qui est directement visé, donc les femmes arabes.
Répressive: elle ne libère pas les femmes arabes. Elle va les poursuivre et les réprimer. Les sanctions suivantes sont prévues: une amende de 82,50 euros à 135,50 euros, ou une peine d' emprisonnement d'un à sept jours, est prévue. Et en cas de récidive, les peines seront évidemment aggravées ... Sans parler des conséquences et interdits professionnels pour les personnes concernées.
Politique: inutile de faire un dessin, dans l' ambiance de plus en plus raciste et anti-islam qui touche notre pays.
Sélective: la député "Groen" Eva Brems aurait déclaré: "avec cette loi, nous allons aussi sanctionner les personnes qui se promènent en bikini avec un chapeau et de grandes lunettes de soleil. C' est dégoûtant de faire passer des victimes pour des auteurs de délits".
RoRo

BELGIQUE: le 14 octobre 2012, on vote pour les communales: Rue-Conseil-Rue (1) : GENK, un seul élu, de grandes réalisations C-

Rue-Conseil-Rue : Genk, un seul élu, de grandes réalisations

En quelques années, la concentration en métaux lourds dans l'atmosphère de Genk a diminué de 70 %. Plus de mille logements sociaux ont été rénovés ou reconstruits. Le budget de l'enseignement a été multiplié par quatre… Sans le PTB, rien de tout cela n'aurait été accompli...

Nick Dobbelaere



Harrie Dewitte, conseiller communal PTB à Genk. (Photo Solidaire, Salim Hellalet)
Rue-Conseil-Rue
Une voix pour le PTB fait la différence. Un élu PTB défend réellement et concrètement la population, puis l'informe des résultats. « Rue-Conseil-rue », tel est le principe de base des conseillers communaux PTB. Ils se mobilisent avec les habitants de la commune (d'un quartier, d'une rue...) pour porter leurs questions, thèmes et revendications au conseil communal. Et ils reviennent ensuite vers les habitants pour communiquer les résultats, rendre compte de la situation et repartir à l'action.
    Dans cette série, nous abordons des communes où, chaque jour, les élus PTB prouvent qu'un vote pour notre parti est un vote utile. Cette semaine : Genk.
« Nous nous en occupons depuis 2002. » Telle est invariablement la réponse de Wim Dries, le bourgmestre de Genk (CD&V-le Psc-Cdh flamand), lorsque la question de la pollution industrielle à Genk arrive sur le tapis. « S'en occuper » signifie pour le bourgmestre : avoir reçu, en 2002, lorsqu'il était qu'échevin de l'Environnement, un dossier détaillé de la Vlaamse Milieumaatschappij (association flamande de l'environnement), dossier qui a pris la poussière des années durant dans un tiroir ; accorder entre-temps des licences environnementales aux industries polluantes ; et passer à l'action uniquement lorsque le PTB a sorti des chiffres démontrant, dans une petite école d'un quartier proche de la zone de ces industries, une présence de métaux lourds 1 000 fois supérieure à celle d'une école plus éloignée.    Genk, dans le Limbourg, compte 65 000 habitants. Depuis la Deuxième Guerre mondiale, les démocrates-chrétiens règnent. Après Anvers et Gand, Genk est la troisième zone industrielle de Flandre, mais c'est aussi une des communes les plus pauvres du Nord du pays. Plus de la moitié de ses habitants doivent se débrouiller avec un revenu de moins de 1 500 euros par mois. La politique du bourgmestre n'est cependant pas centrée sur le soutien aux plus pauvres, mais a pour objectif d'attirer davantage de plus nantis. « C'est intolérable, lance Harrie Dewitte, conseiller communal PTB. Le besoin en logements à Genk est considérable. Mais les autorités communales ont décidé de ne plus autoriser de nouvelles habitations sociales. Pour elles, mieux vaut chasser les pauvres que les riches. Selon la Région flamande, chaque extension de zone d'habitat doit comporter 10 % de logements sociaux. À Genk, c'est 0 %. »

Où est Chokri ?

Le bourgmestre veut gérer la ville comme une entreprise. Et une entreprise est destinée à faire du profit et non à se soucier des problèmes de ses « clients », selon le jargon du bourgmestre. 
    Le plus grand parti de l'opposition à Genk est le sp.a (-"socialiste" flamand: la liste s'appelle Pro Genk). Mais on ne l'a pas surpris en flagrant délit d'opposition. Le président du groupe sp.a, Angelo Bruno, a obtenu des autorités communales une ordonnance de police taillée à sa mesure. Depuis peu, les poids lourds ne peuvent plus stationner sur le territoire de Genk. Bonne nouvelle pour Bruno, qui possède une centrale de camions juste aux abords de la ville où les chauffeurs peuvent disposer d'un emplacement. Pour 3 000 euros par an.     Pour contester la politique du bourgmestre, les habitants de Genk ne doivent pas non plus compter sur Chokri Mahassine. L'organisateur du festival Pukkelpop a été catapulté en 2006 par le sp.a pour tirer sa liste afin de briser la majorité CD&V. Lorsque ce plan a échoué, Mahassine a disparu encore plus rapidement qu'il n'était venu. Il n'a pas siégé une seule minute au conseil communal de Genk.

Pression électorale

Le Dr Harrie Dewitte, lui, est un véritable opposant. S'il est le premier et l'unique – jusqu'à présent du moins – élu PTB, il est cependant loin d'être isolé. « J'ai toujours tant de gens autour de moi que je ne me sens jamais seul », sourit Harrie. Lors de son premier mandat, le médecin de Médecine pour le Peuple a prouvé qu'un élu PTB peut peser sur la politique communale.     Concernant le problème environnemental, par exemple. Lorsque, en 2005, le PTB a pris connaissance d'un document sur les métaux lourds présents dans l'air de Genk, le parti est immédiatement entré en action. Et, dès le début, la population locale a été impliquée : plus de mille personnes – la moitié du quartier populaire de Sledderlo – ont participé à une enquête scientifique pour détecter les métaux lourds dans le quartier. Les résultats étaient atterrants.
    À Genk, les bébés jusqu'à l'âge de 2 ans prennent deux fois plus de médicaments contre l'asthme qu'ailleurs.
Il y a deux fois plus de maladies pulmonaires que dans le reste de la Flandre. Et le lien entre l'émission de métaux lourds et leur taux constaté dans le sang et les urines des enfants est incontestable. Les effets sont également biologiques : retard de puberté, problèmes de thyroïde, difficultés de concentration chez les enfants… Toutes ces conséquences néfastes ont été révélées par le PTB.    Le problème que les gens avaient tendance à minimiser est, en deux ans, devenu une énorme question politique. Lorsque le point était à l'ordre du jour du conseil communal, les bancs de la salle étaient remplis. « Si les autorités communales interviennent désormais de manière drastique, c'est simplement sous la contrainte de la pression électorale », précise Harrie Dewitte. Désormais, il ressort des derniers résultats des analyses de l'air que les taux de métaux lourds ont diminué de 70 % par rapport à 2005.

120 antennes

Autre lutte pour Dewitte : le logement, question non prioritaire pour le bourgmestre. Pour lui, « seulement trois personnes se sont plaintes de moisissure dans leur habitation ». « Cela en dit long sur son attitude, constate Dewitte. Seules trois personnes ont pris l'initiative de se plaindre à la commune. » Le PTB s'y est pris autrement, en allant examiner les logements du quartier de Sledderlo, pour constater qu'un tiers de ceux-ci étaient envahis par des moisissures. « Avec les habitants, nous avons protesté par des pétitions et en nous rendant au conseil communal, relate Harrie Dewitte. À une occasion, les gens de Sledderlo ont même occupé la salle du conseil communal. Et cela a payé : les autorités ont alors décidé d'abattre et reconstruire ou entièrement rénover les 800 logements sociaux de Sledderlo. Certes, ces actions ne sont pas toujours de grandes manifestations, mais elles montrent à quel point la population s'implique et se sent concernée. Elles font en sorte de mettre le problème sur la table afin de l'analyser et d'y trouver des solutions. »
   Le PTB a par ailleurs fait multiplier par quatre le budget de l'enseignement. Et fait réaménager un carrefour dangereux… Comment un seul conseiller communal arrive-t-il à réaliser cela ? « Mais je ne suis pas seul, insiste Harrie Dewitte. Par exemple, avec la section locale du parti, nous avons créé un réseau de contacts de 120 personnes. Elles sont des "antennes" et peuvent rapidement se mobiliser pour distribuer des lettres ouvertes ou faire circuler des pétitions. » Dewitte reconnaît cependant qu'un – ou plusieurs – conseiller communal PTB ne seraient pas de trop.
    Quant au 14 octobre, impossible de faire un pronostic. « C'est la population qui décide, conclut Harrie Dewitte. r
 

Syrie: mercenaires impliqués dans des massacres

Bref, battue, humiliée comme les autres nations ricano-otaniennes, la FRANCE va, comme à Dien Bien Phu, retirer ses troupes d' AFGHANISTAN, pour arrêter le massacre de ses soudards et foutre le camp...
Qu'à cela ne tienne, les "socialistes" HOLLANDE et FABIUS les verraient très bien aller prendre l' air en SYRIE. On n' attend que le feu vert des Nations-Unies, sous contrôle ricain... Les médias du système, comme d'habitude, se chargeront de formater l'opinion à la nouvelle sauce ...
De guerre en guerre, les impérialistes ont toujours besoin de chair humaine, indépendamment des leçons reçues. Du moment que les marchands de canons vendent leurs saloperies ...
RoRo
From: jemi
Sent: Sunday, July 15, 2012 1:21 PM
Subject: Fwd: ! Syrie: mercenaires impliqués dans des massacres
Este domingo 15/07/12 a las 17h00 en la Radio del Sur FM 98.5

Il est évident que les télés, radios et la plupart des médias ne transmettront pas ces informations.
Le gouvernement français actuel, de même que le précédent, sont-ils informés par leurs services de renseignements de ce qui se passe réellement en Syrie?
Si ce n'est pas le cas, alors, c'est plus que grave.
Qui sont les "rebelles"? Qui les aide militairement? En premier lieu, n'est-ce pas le Qatar, l'Arabie Saoudite?

Il y a sans doute d'autres B.H.L plus ou moins teintés de rose..!

Nota: ce qui n'excuse pas les actions des forces paramilitaires syriennes.
Et, concernant ces crimes, qui sont ces fanatiques qui tuent, torturent et violent au Mali. Les médias préférés des français parlent d'hommes lourdement armés venant de Libye.
Mais sans plus, laissant planer le doute: "s'agirait-il de forces de Kadhafi?".
En vérité, proclamant la "Charia", ils étaient farouchement opposés au régime de Kadhafi.
Eux aussi sont soutenus.

La diplomatie française??? Il serait temps d'y penser, et éviter de curieuses alliances.
Quant à la conscience de la nation française, rappelons simplement que selon un récent sondage, 58% des français sont favorables à une intervention militaire en Syrie.
C'est très grave, d'autant plus que le président actuel y est également favorable.
Je ne puis m'empêcher de penser aux croisades. La différence: si cette guerre était décidée, le chef de l'État français ainsi que ses ministres, se trouveraient-ils à la tête des "croisés"?
Et dans le contexte actuel, il serait peut-être recommandé aux troupes d'intervention, au premier rang desquels devraient logiquement se trouver les "sondés" belliqueux, de se laisser pousser la barbe.
Comprend qui voudra...

jmb








Des groupes armés admettent une participation au massacre produit en Syrie
Samedi, juillet 14th, 2012 | Filed under Couverture | Posted by rosuna

Dans des déclarations à la télévision locale après leur capture par des forces de le j'Exerce Syrien Arabe, les terroristes ont dit que dans leurs rangs il y avait des hommes armés d'autres nations, y compris libyens et turcs.

Des membres de groupes armés qui occupaient la localité d'al-Tremseh, au nord de la Syrie, ont admis ce samedi qu'ils ont pris part à des actions contre la population locale qui s'est terminé par  le massacre utilisé par Occident pour attaquer au gouvernement syrien.

Les irréguliers Hekmat Shehadeh, Moustafa Younis, Saed Darwish, Ramy Abdel-Salam Darwish et Mohammed Sattof, ont admis leur affiliation à ces bandes qui en nombre proche aux 300 effectifs étaient dévoilés dans le village d'al- Tremseh, au nord-ouest de la ville de Hama, à 209 kilomètres de Damas.

Dans des déclarations à la télévision locale après leur capture par des forces de l'armée Syrienne Arabe, les terroristes ont dit que dans leurs rangs il y avait des hommes armés d'autres nations, y compris libyens et turcs.

Ils ont indiqué qu'ils avaient reçu des ordres d'attaquer des postes des forces gouvernementales et empêcher les citadins de se rendre à leur travail.

Ils ont de même admis que disposaient d'un vaste arsenal d'armes légères et moyennes, y compris des mitrailleuses, des missiles RPG, grenades et mortiers, entre autres.

Ils ont aussi déclaré qu'ils ont utilisé des franc-tireurs postés sur les toits de toutes les maisons pour attaquer l'armée et les citadins qui négligeaient l'ordre de rester à leur maison et allaient à leurs travail.

En outre, ils ont ajouté, qu'ils avaient une grande quantité d'engins explosifs qu'ils fabriquaient dans un atelier dans un hameau.

Actuellement, des moyens de presse et des politiciens occidentaux accusent les autorités syriennes de commettre ce massacre contre la population civile, sans tenir compte de l'action des bandes armées auxquelles ils donnent le traitement de « pauvres civils assassinés par des forces gouvernementales ».

Selon des sources qui ont demandé l'anonymat, des groupes de l'équipe d'observation de l'ONU en Syrie se sont déplacés aujourd'hui vers la zone pour vérifier sur le terrain ce qui est arrivé dans le village à quelque 30 kilomètres de la capital provinciale de Hama.


En declaraciones a la televisión local después de su captura por fuerzas del Ejercito Árabe Sirio, los terroristas dijeron que entre sus filas había hombres armados procedentes de otras naciones, incluidos libios y turcos.

Imagen referencial.(SANA)

La Radio del Sur/Prensa Latina

Integrantes de grupos armados que ocupaban la localidad de al-Tremseh, al norte de Siria, admitieron este sábado que participaron en acciones contra la población local que terminaron en la masacre utilizada por Occidente para atacar al gobierno sirio.
Los irregulares Hekmat Shehadeh, Moustafa Younis, Saed Darwish, Ramy Abdel-Salam Darwish y Mohammed Sattof, confesaron su afiliación a esas bandas que en número cercano a los 300 efectivos estaban desplegados en la aldea de al- Tremseh, al noroeste de la ciudad de Hama, a 209 kilómetros de Damasco.
En declaraciones a la televisión local después de su captura por fuerzas del Ejercito Árabe Sirio, los terroristas dijeron que entre sus filas había hombres armados procedentes de otras naciones, incluidos libios y turcos.
Indicaron que habían recibido ordenes de atacar a los puestos de las fuerzas gubernamentales e impedir a los ciudadanos dirigirse a sus empleos.
Asimismo confesaron que contaban con un amplio arsenal de armas ligeras y medianas, incluidas ametralladoras, lanza-misiles RPG, granadas y morteros, entre otras.
También declararon que usaron francotiradores apostados en las azoteas de todas las casas para atacar al Ejercito y a los ciudadanos que incumplían la orden de permanecer en casa y marchaban a sus trabajos.
Además, agregaron, tenían gran cantidad de artefactos explosivos que fabricaban en un taller en el poblado.
En la actualidad, medios de prensa y políticos occidentales culpan a las autoridades sirias de cometer esa masacre contra la población civil, sin tener en cuenta la acción de las bandas armadas a las que le dan el tratamiento de "pobres civiles asesinados por fuerzas gubernamentales".
Según fuentes que pidieron el anonimato, grupos del equipo de observación de la ONU en Siria se desplazaron hoy hacia la zona para verificar sobre el terreno lo que ocurrió en la aldea a unos 30 kilómetros de la capital provincial de Hama.



U.S.A. - Syria - Ce qu'il faut savoir - Facts you should know c-

Sent: Tuesday, July 17, 2012 6:33 PM
Subject: U.S.A. - Syria - Ce qu'il faut savoir - Facts you should know





ENGLISH    - International Action Center - U.S. & Syria: Facts you should know - by Joyce Chediac
FRANÇAIS - Centred'action international - États-Unis et Syrie - Ce qu'il faut savoir - Joyce Chediac





-1-ENGLISH





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U.S. & Syria: Facts you should know

By Joyce Chediac



The following timeline reviews the progression of U.S.-NATO intervention in Syria and counteracts the Big Lie in the corporate media aimed at preparing open imperialist military aggression against the Syrian people.



● Washington has funneled money to a right-wing Syrian opposition group since at least 2005. (Washington Post, April 16, 2011)



● The U.S. reopened its embassy in Damascus in January 2011 after six years. This was no thaw in relations. The new ambassador, Robert S. Ford, who served until October 2011, is a protégé of John Negroponte, who organized death squads in El Salvador in the 1970s and in Iraq while ambassador there in 2004-05. There terror squads killed tens of thousands. Ford served directly under Negroponte at the U.S. Embassy in Baghdad.



● Ford "played a central role in laying the groundwork within Syria as well as establishing contacts with opposition groups." Two months after he arrived in Damascus, the armed insurgency began. (Global Research, May 28)



● Armed opposition to Bashar al-Assad began in March 2011 in Daraa, a small town on the Jordanian border. Mass protest movements usually start in large population centers. Later, Saudi Arabia admitted sending weapons to the opposition via Jordan. (RT, March 13)



● The U. S. and its NATO allies used grassroots protests in Egypt, Syria and elsewhere as a cover to build support for right-wing insurgencies whose goal was not to help the Syrian people but to bring Syria into the pro-imperialist camp. Any excesses or mistakes by the Assad government were not the real issue.



● The Arab League, European Union and U.S. begin imposing economic sanctions, a form of warfare, against Syria in November 2011 on the pretext of stopping state-sanctioned violence against protesters. Stepped-up sanctions and freezing of Syrian assets caused the value of the Syrian pound to drop by 50 percent against the dollar, with the cost of necessities often tripling.



● Exiles who received U.S. funding became part of the Syrian National Council. SNC's Burhan Ghalioun said he would open up Syria to the West, end Syria's strategic relationship with Iran (and with the Lebanese and Palestinian resistance), and realign Syria with the reactionary Arab regimes in the Gulf. (Wall Street Journal, Dec. 2, 2011)



U.S. &NATO escalate involvement



● Ex-CIA agent Philip Giraldi admitted that the U.S. was involved in Syria and laid out the U.S. plan: "NATO is already clandestinely engaged in the Syrian conflict, with Turkey taking the lead as U.S. proxy. Ankara's foreign minister, Ahmet Davitoglu, has openly admitted that his country is prepared to invade as soon as there is agreement among the Western allies to do so. The intervention would be based on humanitarian principles, to defend the civilian population based on the 'responsibility to protect' doctrine that was invoked to justify Libya." (theamericanconservative.com, Dec. 19, 2011)



● Giraldi continued: "Unmarked NATO warplanes are arriving at Turkish military bases close to … the Syrian border, delivering weapons from the late Muammar Gaddafi's arsenals as well as volunteers from the Libyan Transitional National Council who are experienced in pitting local volunteers against trained soldiers. … French and British special forces trainers are on the ground, assisting the Syrian rebels while the CIA and U.S. Spec Ops are providing communications equipment and intelligence. …



● "The frequently cited United Nations report that more than 3,500 civilians have been killed by Assad's soldiers is based largely on rebel sources and is uncorroborated. Likewise, accounts of mass defections from the Syrian Army and pitched battles between deserters and loyal soldiers appear to be a fabrication, with few defections being confirmed independently. Syrian government claims that it is being assaulted by rebels who are armed, trained, and financed by foreign governments are more true than false."



● The "Free Syrian Army" has rear bases in Turkey, is funded by Saudi Arabia and Qatar, and is made up of defecting Syrian soldiers. Spiegel Online sites a source in Beirut who reports seeing "'hundreds of foreign fighters' who have attached themselves to the FSA." (Feb. 15)



● The U.N.-mandated commission of inquiry, in its February 2012 report, documented torture, taking of hostages, and executions by armed opposition members.



● The first heavy fighting in Syria's capital, Damascus, started in March. Pipelines were blown up, and huge explosions ripped through intelligence and security buildings in Christian areas on March 16, killing at least 27 people. The Syrian government charged then that terrorist attacks supported from abroad have been responsible for eight car bomb attacks since December, killing 328 and wounding 657. This got little Western media attention.



● Human Rights Watch on March 20 accused armed Syrian opposition members of "Kidnappings, the use of torture and executions … of security force members, individuals identified as members of government-supported militias, and individuals identified as government allies and supporters."



● In the Baba Amr neighborhood of Homs, the armed opposition has formed its own laws, courts and death squads, according to Spiegel Online. Abu Rami, an opposition commander in Baba Amir, interviewed by Spiegel, said in the city of Homs his group has executed between 200 and 250 people. (March 29)



U.N. steps in



● Former U.N. Secretary General Kofi Annan went to Syria in March at the behest of the U.N. and Arab League to put together a peace proposal. But Annan and the U.N. are not impartial. Annan is an architect of the "responsibility to protect" doctrine, cited by former CIA agent Giraldi as the planned pretext for intervention in Syria. The U.N. endorsed this doctrine under Annan's tenure.



● In 2004, Annan gave U.N. approval to the U.S., French and Canadian intervention that deposed Haiti's President Jean-Bertrand Aristide. Annan's stated reasons were the same then as now in Syria: an alleged impending "humanitarian catastrophe." Annan provided a similar U.N. cover for France to tighten its colonial grasp on the Ivory Coast in 2006. In Syria, Annan's calls for a Syrian government ceasefire and for outside "humanitarian" aid are really calls for foreign intervention.



● Syria agreed to an Annan-brokered ceasefire March 27. The opposition refused. While the Western heads of state and the corporate media heaped blame on Assad for "not honoring" the ceasefire, the West kept arming the opposition.



● What the U.S. government really thought of the ceasefire was revealed by Robert Grenier, former director of the CIA's Counter-Terrorism Center, who called upon those who would "help" Syria "to climb metaphorically into the ring and dirty themselves," adding, "what the situation needs is not high-minded sentiments, but effective, lethal aid." (Al Jazeera, March 29)



● As the imperialists "climbed into the ring," they continued to blame Assad. Speaking at an anti-Assad "Friends of Syria" meeting in Istanbul on April 1, U.S. Secretary of State Hillary Rodham Clinton said Assad had "defiled" the ceasefire. She called for Damascus to unilaterally stop fighting and withdraw from areas of heavy right-wing infiltration. She said the U.S had pledged at least $25 million in "nonlethal" aid to the Syrian opposition, which included satellite communication equipment.



● By May, the reactionaries "have begun receiving significantly more and better weapons … paid for by Persian Gulf nations and coordinated … by the U.S." (Washington Post, May 15) "The Syrian rebels have received their first 'third generation' anti-tank weapons. They are supplied by Saudi and Qatari intelligence agencies following a secret message from President Barack Obama." (debkafile.com, May 22)



The Houla massacre



● Right before a scheduled visit to Syria by Annan, news broke of a horrible massacre of 108 people in Houla on May 25, which included whole families and as many as 48 children. Headlines worldwide blamed the Syrian government, and all Western capitals called for increased sanctions and more international pressure on Assad. 



● By May 27, the imperialists had coordinated their "international outrage" and expelled Syrian diplomats from the U.S., the Netherlands, Australia, Great Britain, France, Germany, Italy, Spain, Bulgaria and Canada.



● The U.N. Security Council reacted to the massacre -- with no investigation as to who was responsible -- by unanimously condemning Syria for allegedly using tanks and artillery after agreeing to a ceasefire. Ignored were statements from the Assad government that it was not responsible. A closer look showed this was the case.



● Marat Musin, reporting for Russia's ANNA News, was in Houla and interviewed witnesses right after the massacre. Musin determined that the massacre was committed by the so-called Free Syrian Army, not the Assad forces. His report concluded: "The attack was carried out by a unit of armed fighters from Rastan, in which more than 700 gunmen were involved. They brought the city under their control and began with a cleansing action against loyalist [pro-Assad] families, including elderly people, women and also children. The dead were presented to … the U.N. and the 'international community' as victims of the Syrian army." (May 31) The conservative German newspaper, the Frankfurter Allgemeine Zeitung, corroborated the ANNA report on June 7.



● Residents knew many of the killers by name and identified them as local criminal elements now working for the FSA. (Syria News, May 31) Anti-Assad forces then posed as villagers and invited the U.N. observers in. Some put on uniforms of the Syrian soldiers they had killed and said they were defectors.



● A widely shown photo of dozens of shrouded bodies, which the BBC first presented as the aftermath of Houla, was really taken by photographer Marco di Lauro in Iraq in March 2003.



● BBC world news editor Jon Williams admitted in his blog June 7 that there was no evidence whatsoever to identify either the Syrian Army or Alawite militias as the perpetrators of theMay 25 massacre. United Kingdom's Channel 4 senior reporter Alex Thomson said June 7that the opposition led him into a line of fire and tried to get him killed by Syrian military forces so it would "look bad" for Assad.



● There has been no independent investigation of Houla to date, yet at a June 7 meeting, Annan and current U.N. General Secretary Ban Ki-moon again made statements putting the responsibility for the Houla massacre on Assad.



● Major General Robert Mood, head of the U.N. Supervision Mission in Syria, suspended patrols of the 300-member team on June 16, citing "spiraling violence in restive areas." The suspension was right before the G-20 Summit in Mexico, providing another opportunity for imperialism to criticize Assad.



● In initial remarks, Annan called the Houla massacre the "tipping point." The deaths at Houla have been used by the U.S. and NATO to more aggressively and openly organize for Assad's overthrow. U.S. officials and Arab intelligence officers admit that the CIA is in southern Turkey funneling weapons to the FSA. It is also there to "make new sources and recruit people." (New York Times, June 21)



● As a result, "The onetime ragtag militias of the Syrian opposition are developing into a more effective fighting force with the help of an increasingly sophisticated network of activists here in southern Turkey that is smuggling crucial supplies across the border including weapons, communication gear, field hospitals and even salaries for soldiers who defect. The network reflects an effort to forge an opposition movement ... that together can not only defeat ... Assad but also replace his government." (New York Times, June 26) – [End of Text]





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États-Unis et Syrie - Ce qu'il faut savoir - Joyce Chediac



La chronologie suivante porte sur l'intervention croissante des États-Unis-OTAN en Syrie.  Elle contredit le Grand Mensonge diffusé par les médias commerciaux dans le but de préparer une agression militaire impérialiste ouverte contre le peuple syrien.



● Depuis au moins 2005, Washington achemine de l'argent à un groupe de l'opposition syrienne d'extrême droite. (Washington Post - 16 avril 2011) ● Les États-Unis ont rouvert leur ambassade à Damas en janvier 2011, après six ans, mais il ne s'agissait pas d'un dégel dans les relations des deux pays. Le nouvel ambassadeur, Robert S. Ford, qui a servi jusqu'en octobre 2011, est un protégé de John Negroponte, qui a organisé des escadrons de la mort au Salvador dans les années 1970 et en Irak alors qu'il y exerçait les fonctions d'ambassadeur en mai 2004. Dans ce pays, des escadrons de la terreur ont tué des dizaines de milliers de personnes. Ford a servi directement sous les ordres de Negroponte à l'ambassade US à Bagdad. ● Ford «a joué un rôle de premier plan en préparant le terrain en Syrie et en établissant des contacts avec des groupes d'opposition». Deux mois après son arrivée à Damas, l'insurrection armée a commencé. (Global Research, 28 mai) ● L'opposition armée contre Bachar al-Assad a commencé en mars 2011 à Daraa, petite ville sur la frontière jordanienne. Des mouvements de protestation de masse commencent habituellement dans les grandes agglomérations. L'Arabie saoudite a admis, quelque temps après, qu'elle envoyait des armes à l'opposition à travers la Jordanie. (RT, 13 mars) ● Les États-Unis et leur alliés de l'OTAN ont utilisé les protestations populaires survenues en Égypte, en Syrie et ailleurs comme une couverture pour renforcer leur appui à des insurrections de droite, non pas pour aider le peuple syrien mais bien pour amener la Syrie dans le camp pro-impérialiste. Les excès ou les erreurs que le gouvernement Assad avait pu commettre n'étaient pas la vraie raison. ● La Ligue arabe, l'Union européenne et les États-Unis ont commencé à imposer des sanctions économiques, forme d'acte de guerre, contre la Syrie en novembre 2011 sous prétexte d'arrêter la violence sanctionnée par l'État contre les manifestants. L'aggravation des sanctions et le gel des avoirs syriens ont causé une chute de 50% de la valeur de la livre syrienne par rapport au dollar, alors que le coût des denrées essentielles triplaient souvent. ● Des exilés, financés par les États-Unis, ont été intégrés au sein du Conseil national syrien (CNS). Burhan Ghalioun, du CNS, a déclaré qu'il allait ouvrir la Syrie à l'Occident, mettre fin aux relations stratégiques de la Syrie avec l'Iran (et avec la résistance libanaise et palestinienne) et réaligner la Syrie avec les régimes réactionnaires arabes du Golfe. (Wall Street Journal, le 2 décembre 2011)



L'escalade de l'intervention des États-Unis et de l'OTAN



● L'ex-agent de la CIA Philip Giraldi a admis que les États-Unis agissaient en Syrie et a décrit le plan des États-Unis : «L'OTAN intervient déjà clandestinement dans le conflit syrien, et la Turquie prend les devants en tant que mandataire des États-Unis. Le ministre des Affaires étrangères à Ankara, Ahmet Davitoglu, a ouvertement admis que son pays est prêt à envahir la Syrie dès que les alliés occidentaux se seront mis d'accord à le faire. L'intervention serait faite au nom de principes humanitaires, afin de défendre la population civile, en invoquant la doctrine de la «responsabilité de protéger», utilisée pour justifier l'attaque contre la Libye. "(Theamericanconservative.com, le 19 décembre 2011) ● Giraldi a poursuivi : «des avions de l'OTAN, ne portant pas d'identification, se rendent dans les bases militaires turques proches de (...) la frontière syrienne, pour y livrer des armes des arsenaux de feu Mouammar Kadhafi et des volontaires du Conseil national de transition libyen, expérimentés dans la provocation d'affrontements entre les volontaires locaux contre les soldats formés. (...) Des entraîneurs de forces spéciales, français et britanniques, se trouvent sur le terrain, et aident les rebelles syriens, tandis que la CIA et des forces d'opérations spéciales des États-Unis fournissent de l'équipement de communication et mènent des opérations d'intelligence. (...) ● «Le rapport fréquemment cité de l'ONU indiquant que plus de 3 500 civils ont été tués par des soldats d'Assad est en grande partie basée sur des sources rebelles et les faits cités n'ont pas été corroborés. De même, les désertions massives au sein de l'armée syrienne et les batailles rangées entre déserteurs et soldats fidèles qui ont été rapportées semblent être des inventions de toute pièce, et seulement quelques cas de désertion ont été confirmés de façon indépendante. Les affirmations du gouvernement syrien selon lesquelles il serait attaqué par des rebelles armés, entrainés et financés par des gouvernements étrangers sont plus vraies que fausses». ● L'"Armée syrienne libre" (ASL) dispose de bases arrière en Turquie, elle est financée par l'Arabie saoudite et le Qatar et elle se compose de déserteurs syriens. Le journal «Spiegel» en ligne cite une source à Beyrouth qui déclare avoir vu «des centaines de combattants étrangers qui se sont engagés dans l'"Armée syrienne libre"». (15 février) ● Dans son rapport de février 2012, la commission d'enquête mandatée par l'ONU a présenté de la documentation sur des cas de torture, des prises d'otages et des exécutions par des membres armés d'opposition. ● Les premiers combats intenses survenus à Damas, capitale de la Syrie, ont débuté en mars. Le 16 mars, des pipelines ont été dynamités et d'énormes explosions se sont produites dans des bâtiments de renseignement et de sécurité se trouvant dans les zones chrétiennes, tuant au moins 27 personnes. Le gouvernement syrien a alors affirmé que depuis décembre, des terroristes, appuyées par des puissances étrangères, avaient organisé huit attentats à la voiture piégée tuant 328 personnes et blessant 657. Ces faits n'ont pas attiré beaucoup l'attention des médias occidentaux. ● Le 20 mars, l'organisation «Human Rights Watch» a accusé des membres de l'opposition armée syrienne de «procéder à des enlèvements, à l'utilisation de la torture et à des exécutions (...) de membres des forces de sécurité, de personnes identifiées comme étant des membres milices appuyées par le gouvernement et des alliés ou des supporteurs du gouvernement». ● Selon le «Spiegel» en ligne, dans le quartier Baba Amr de la ville de Homs, l'opposition armée a établi ses propres lois, ses tribunaux et ses escadrons de la mort. Interviewé par le «Spiegel», Abou Rami, commandant de l'opposition de Baba Amir, a déclaré qu'à Homs, son groupe avait exécuté entre 200 et 250 personnes. (29 mars)



L'ONU entre en action



● En mars, à la demande de l'ONU et de la Ligue arabe, l'ex-secrétaire général Kofi Annan s'est rendu en Syrie pour élaborer une proposition de paix. Or Annan et l'ONU ne sont pas impartiaux. Annan est l'un des architectes de la doctrine de la «responsabilité de protéger», invoquée, selon l'ex-agent de la CIA Giraldi, comme prétexte pour déclencher une intervention planifiée en Syrie. L'ONU a approuvé cette doctrine durant le mandat de Kofi Annan. ● En 2004, Annan a approuvé, au nom de l'ONU, l'intervention des États-Unis, de la France et du Canada qui a renversé le président d'Haïti Jean-Bertrand Aristide. Annan avait alors invoqué la même raison que celle utilisée aujourd'hui en Syrie : une prétendue "catastrophe humanitaire" imminente. En 2006, Annan a fourni, sous le même prétexte, l'appui de l'ONU à la France pour lui permettre de resserrer son emprise coloniale sur la Côte d'Ivoire. En Syrie, les appels de Kofi Annan à l'observance d'un cessez-le-feu par le gouvernement syrien et à une aide "humanitaire" sont, en vérité, des appels à une intervention étrangère. ● Le 27 mars, la Syrie a accepté d'observer le cessez-le-feu négocié par Annan. L'opposition a refusé. Alors que les chefs d'État occidentaux et les médias commerciaux tiraient à boulets rouges sur Assad, l'accusant "ne pas honorer" le cessez-le-feu, l'Occident continuait à armer l'opposition. ● Ce que le gouvernement étatsunien pensait vraiment de la trêve a été révélé par Robert Grenier, ex-directeur du Centre de contre-terrorisme de la CIA, qui a lancé un appel à ceux qui comptaient "aider" la Syrie pour «qu'ils montent métaphoriquement sur le ring et se salissent eux aussi».  Il a ajouté que «ce que la situation exige ce ne sont pas de nobles sentiments mais une aide efficace, mortelle». (Al-Jazira, 29 mars) ● Les impérialistes, alors qu'ils "montaient dans le ring", ont continué à accuser Assad. Le 1er avril, à Istamboul, s'adressant à une réunion anti-Assad d'"Amis de la Syrie", la secrétaire d'État des États-Unis Hillary Rodham Clinton a déclaré qu'Assad avait violé le cessez le feu. Elle a exigé que Damas cesse unilatéralement les combats et se retire des zones fortement infiltrées par des forces de l'extrême droite. Elle a déclaré que les États-Unis avaient promis au moins 25 millions de dollars d'aide "non létale" à l'opposition syrienne, entre autres du matériel de communication par satellite. ● En mai, les réactionnaires «ont commencé à recevoir des armes en beaucoup plus grande quantité et de bien meilleure qualité (...) financées par les pays du Golfe persique et sous la coordination des États-Unis (...)» (Washington Post, 15 mai) «Les rebelles syriens ont reçu leur premières armes antichars de «troisième génération». Ils sont équipés par des agences de renseignements de l'Arabie saoudite et du Qatar à la suite d'un message secret envoyé par le président Barack Obama». (Debkafile.com, le 22 mai)



Le massacre de Houla



● Le 25 mai, juste avant la visite prévue de M. Annan en Syrie, la nouvelle d'un horrible massacre de 108 personnes à Houla, comprenant des familles entières et 48 enfants, est diffusée. Dans le monde entier les médias accusent le gouvernement syrien et toutes les capitales occidentales exigent l'accroissement des sanctions et de la pression internationale contre Assad. ● Le 27 mai, les impérialistes ont coordonné la manifestation de leur "indignation internationale" et ont expulsé les diplomates syriens en poste aux États-Unis, aux Pays-Bas, en Australie, en Grande-Bretagne, en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Bulgarie et au Canada. ● Le Conseil de sécurité réagit au massacre sans avoir procédé à aucune enquête pour chercher à savoir qui en est le responsable, condamnant prétendument et de façon unanime la Syrie d'avoir utilisé des chars et de l'artillerie après avoir accepté un cessez-le-feu. Des déclarations affirmant que le gouvernement Assad n'en était pas le responsable ont été ignorées. Un examen plus approfondi a révélé que ces déclarations étaient justes. ● Immédiatement après le massacre, à Houla, Marat Musin, de l'agence de nouvelles russe ANNA, a interrogé des témoins. Il a établi que le massacre avait été commis par la dénommée "Armée syrienne libre" et non par les forces d'Assad. Il terminait son rapport par la conclusion suivante : «L'attaque a été menée par une unité de combattants armés de Rastan, à laquelle plus de 700 hommes armés ont participé. Ils ont soumis la ville à leur contrôle et ont commencé par une action de liquidation des familles loyalistes (pro-Assad), y compris les personnes âgées, les femmes et les enfants. Les morts ont été présentés à (...) l'ONU et à la "communauté internationale" comme étant des victimes de l'armée syrienne.» (31 mai) Le 7 juin, le journal conservateur allemand «Frankfurter Allgemeine Zeitung» a corroboré le rapport de l'agence ANNA. ● Les résidents connaissent un grand nombre des tueurs par leur nom et les considèrent comme étant des éléments criminels locaux qui travaillent maintenant pour l'"Armée syrienne libre". (Syria News, 31 mai).  Les forces anti-Assad ont ensuite posé pour les caméras, se présentant comme des villageois et ont invité les observateurs de l'ONU à visiter les lieux.  Certains, qui avaient revêtu les uniformes de soldats syriens tués, ont déclaré être des transfuges. ● Une photo largement diffusée de dizaines de corps ensevelis a été présentée par la BBC pour montrer les victimes de Houla, avait en vérité été prise par le photographe Marco di Lauro en Irak en mars 2003. ● Le 7 juin, le rédacteur en chef du service des nouvelles internationales de la BBC, Jon Williams, a admis dans son blog qu'il n'y avait aucun indice permettant d'identifier si le massacre du 25 mai avait été perpétré par l'armée syrienne ou par les milices alaouites. Le 7 juin, le journaliste senior Alex Thomson, du Canal 4 du Royaume-Uni, a déclaré que l'opposition l'a conduisit à une ligne de feu et ont essayé de faire en sorte qu'il soit tué par les forces militaires syriennes afin de donner à Assad une "mauvaise image". ● Aucune enquête indépendante n'a été menée jusqu'à ce jour sur le massacre de Houla, mais le 7 juin, au cours d'une réunion, Annan et l'actuel secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon ont à nouveau déclaré qu'Assad était responsable du massacre de Houla. ● Le 16 juin, le major-général Robert Mood, dirigeant de la Mission de surveillance de l'ONU en Syrie, a suspendu les patrouilles de 300 membres invoquant comme prétexte la "spirale de la violence dans les zones agitées". Cette suspension de la surveillance, survenue juste avant le Sommet du G-20 tenu au Mexique, a fourni à l'impérialisme, une autre occasion de critiquer Assad. ● Dans ses propos d'introduction, Annan a qualifié le massacre de Houla de "point de basculement" de la situation. Les morts de Houla ont été utilisés par les États-Unis et par l'OTAN de façon plus agressive et ouverte pour l'organisation du renversement d'Assad. Des responsables étatsuniens et des agents de renseignement arabes admettent que la CIA organise, dans le sud de la Turquie, l'acheminement d'armes à l'"Armée syrienne libre". Elle s'y trouve également pour «assurer de nouvelles sources et recruter du personnel». (New York Times, 21 juin) ● En conséquence, «les milices de l'opposition syrienne, initialement hétéroclites, se transforment en une force de combat plus efficace avec l'aide d'un réseau de plus en plus sophistiquée des militants qui se trouvent ici, dans le sud de la Turquie, qui passe en contrebande de l'équipement crucial à travers la frontière, entre autres des armes, de l'équipement de communication, des hôpitaux de campagne et même des salaires pour les soldats qui font défection. Le réseau est le reflet des efforts déployés pour bâtir un mouvement d'opposition (...), qui, ensemble, peuvent non seulement défaire (...) Assad, mais aussi de remplacer son gouvernement». (New York Times, juin 26)  [FIN – Traduction : A.A.]




Honte à ce pays de merde! De quoi retourner les tripes

Subject: Honte à ce pays de merde! De quoi retourner les tripes

Transformer des enfants en criminels.. Essayez de deviner de quel pays il s'agit avant de regarder la video.
Surprise... pas surprenante au fond...
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"Quand le gouvernement viole les droits du Peuple,l'insurrection est pour le Peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits, et le plus indispensable des devoirs"
Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen 24 juin 1793

Reseau Voltaire - Syrie - L'OTAN prépare une vaste opération d'intoxication

Sent: Monday, June 11, 2012 2:48 PM
Subject: Reseau Voltaire - Syrie - L'OTAN prépare une vaste opération d'intoxication

Que l'Allemagne règle les 1.500 milliards d'euros de dédommagements de guerre qu'elle doit à la Grèce!!!


Sent: Monday, June 11, 2012 2:11 AM
Subject: [Reseau Voltaire] L'OTAN prépare une vaste opération d'intoxication 
Réseau Voltaire
URGENT
L'OTAN prépare une vaste opération d'intoxication
par Thierry Meyssan
Des États membres de l'OTAN et du CCG préparent un coup d'État et un génocide sectaire en Syrie. Si vous voulez vous opposer à ces crimes, agissez dès maintenant : faites circuler cet article sur le Net et alertez vos élus.
Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 10 juin 2012
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Dans quelques jours, peut-être dès vendredi 15 juin à midi, les Syriens qui voudront regarder les chaînes nationales verront celles-ci remplacées sur leurs écrans par des télévisions créées par la CIA. Des images réalisées en studio montreront des massacres imputés au gouvernement, des manifestations populaires, des ministres et des généraux donnant leur démission, le président el-Assad prenant la fuite, les rebelles se rassemblant au cœur des grandes villes, et un nouveau gouvernement s'installant au palais présidentiel.
Cette opération, directement pilotée depuis Washington par Ben Rhodes, conseiller adjoint de sécurité nationale des États-Unis, vise à démoraliser les Syriens et à permettre un coup d'État. L'OTAN, qui se heurte au double veto de la Russie et de la Chine, parviendrait ainsi à conquérir la Syrie sans avoir à l'attaquer illégalement. Quel que soit le jugement que l'on porte sur les événements actuels en Syrie, un coup d'État mettrait fin à tout espoir de démocratisation.
Très officiellement, la Ligue arabe a demandé aux opérateurs satellitaires Arabsat et Nilesat de cesser la retransmission des médias syriens, publics et privés (Syria TV, Al-Ekbariya, Ad-Dounia, Cham TV etc.). Il existe un précédent, puisque la Ligue avait déjà œuvré à la censure de la télévision libyenne pour empêcher les dirigeants de la Jamahiriya de communiquer avec leur peuple. Il n'y a pas de réseau hertzien en Syrie où les télévisions sont exclusivement captées par satellite. Mais cette coupure ne laissera pas les écrans noirs.
En effet, cette décision publique n'est que la partie émergée de l'iceberg. Selon nos informations plusieurs réunions internationales ont été organisées cette semaine pour coordonner l'opération d'intoxication. Les deux premières, d'ordre technique, se sont tenues à Doha (Qatar), la troisième, politique, s'est tenue à Riyad (Arabie saoudite).
Une première réunion a rassemblé les officiers de guerre psychologique « embedded » dans quelques chaînes satellitaires, dont Al-Arabiya, Al-Jazeera, BBC, CNN, Fox, France 24, Future TV, MTV — On sait que depuis 1998 des officiers de l'United States Army's Psychological Operations Unit (PSYOP) ont été incorporés dans la rédaction de CNN ; depuis, cette pratique a été étendue par l'OTAN à d'autres stations stratégiques—. Ils ont rédigé à l'avance de fausses informations, selon un « storytelling » élaboré par l'équipe de Ben Rhodes à la Maison-Blanche. Une procédure de validation réciproque a été mise au point, chaque média devant citer les mensonges des autres pour les rendre crédibles aux yeux des téléspectateurs. Les participants ont également décidé de ne pas uniquement réquisitionner les chaînes de la CIA pour la Syrie et le Liban (Barada, Future TV, MTV, Orient News, Syria Chaab, Syria Alghad), mais aussi une quarantaine de chaînes religieuses wahhabites qui appelleront au massacre confessionnel au cri de « Les chrétiens à Beyrouth, les alaouites au tombeau ! »
Le second meeting réunissait des ingénieurs et des réalisateurs pour planifier la fabrication d'images de fiction, mêlant une partie en studio à ciel ouvert et une partie d'images de synthèse. Des studios ont été aménagés durant les dernières semaines en Arabie saoudite pour reconstituer les deux palais présidentiels syriens et les principales places de Damas, Alep et Homs. Il existait déjà des studios de ce type à Doha, mais ils étaient insuffisants.
La troisième réunion regroupait le général James B. Smith, ambassadeur des États-Unis, un représentant du Royaume-Uni, et le prince Bandar Bin Sultan (que le président George Bush père désignait comme son fils adoptif, au point que la presse états-unienne l'a surnommé « Bandar Bush »). Il s'agissait de coordonner l'action des médias et celle de « l'Armée syrienne libre » dont les mercenaires du prince Bandar forment le gros des effectifs.
L'opération qui était en gestation depuis des mois a été précipitée par le Conseil de sécurité nationale des États-Unis après que le président Poutine ait notifié à la Maison-Blanche que la Russie s'opposerait par la force à toute intervention militaire illégale de l'OTAN en Syrie.
Cette opération comprend deux volets simultanés : d'une part déverser de fausses informations et d'autre part censurer toute possibilité d'y répondre.
Le fait d'interdire des TV satellitaires pour conduire une guerre n'est pas nouveau. Ainsi, sous la pression d'Israël, les États-Unis et l'Union européenne ont successivement interdit des chaînes libanaise, palestiniennes, irakiennes, libyennes, et iraniennes. Aucune censure n'a été effectuée envers des chaînes satellitaires provenant d'autres régions du monde.
La diffusion de fausses nouvelles, n'est pas non plus une première. Cependant, quatre pas significatifs ont été franchis dans l'art de la propagande au cours de la dernière décennie.
• En 1994, une station de musique pop, la Radio libre des Mille Collines (RTML) a donné le signal du génocide rwandais en appelant à « Tuer les cafards ! ».
• En 2001, l'OTAN a utilisé des médias pour imposer une interprétation des attentats du 11-Septembre et justifier les attaques de l'Afghanistan et de l'Irak. À l'époque déjà, c'est Ben Rhodes qui avait été chargé par l'administration Bush de rédiger le rapport de la Commission Kean/Hamilton sur les attentats.
• En 2002, la CIA a utilisé cinq chaînes, Televen, Globovision, Meridiano, ValeTV et CMT, pour faire accroire que des manifestations monstres avaient contraint le président élu du Venezuela, Hugo Chavez, à démissionner, alors qu'il venait d'être victime d'un coup d'État militaire.
• En 2011, France 24 faisait de facto office de ministère de l'Information du Conseil national libyen, avec qui il était lié par contrat. Lors de la bataille de Tripoli, l'OTAN a fait réaliser en studio et diffuser par Al-Jazeera et Al-Arabiya des images des rebelles libyens entrant sur la place centrale de la capitale, alors qu'ils étaient encore loin de la ville, de sorte que les habitants, persuadés que la guerre était perdue, cessèrent toute résistance.
Désormais, des médias ne se contentent plus de soutenir la guerre, ils la font.
Ce dispositif viole des principes de base du droit international, à commencer par l'article 19 de la Déclaration universelle des Droits de l'homme relatif au fait « de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit ». Surtout, il viole les résolutions de l'Assemblée générale des Nations-Unies, adoptées au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour prévenir les guerres. Les résolutions 110, 381 et 819 interdisent « les obstacles au libre-échange des informations et des idées » (en l'occurrence la coupures des chaînes syriennes) et « la propagande de nature à provoquer ou encourager toute menace à la paix, rupture de la paix, ou tout acte d'agression ». En droit, la propagande de guerre est un crime contre la paix, le plus grave des crimes, puisqu'il rend possible les crimes de guerre et les génocides.
Thierry Meyssan