lundi 19 juillet 2004

Chavez: «Nous résoudrons nous-mêmes les problèmes des Vénézuéliens»

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Chavez: «Nous résoudrons nous-mêmes les problèmes des Vénézuéliens»• LE 27 juin, le président Hugo Chavez a appelé le gouvernement des États-Unis à respecter la souveraineté vénézuélienne, car «la Révolution bolivarienne poursuivra la construction d’un projet indépendant».«Nous résoudrons nous-mêmes les problèmes des Vénézuéliens, et ni le Congrès, ni aucune autre institution nord-américaine ne doit venir prendre des décisions dans ce pays», a déclaré le président durant son programme radiotélévisé de chaque week-end.Il a mis en doute l’autorité morale de Washington pour donner des leçons de démocratie partout dans le monde, et ce d’autant plus après la manière frauduleuse avec laquelle le président George W. Bush a gagné les élections de novembre 2000.Les États-Unis devraient observer ce qui se passe dans notre pays et comment se construit une véritable démocratie, a-t-il dit. La Maison Blanche prétend dominer toute la planète, comme on le voit en Afghanistan et en Irak. «Malheureusement, ce sont ces actions qu’admire l’opposition vénézuélienne. Ce pays ne se vent pas et ne se livre pas, le Venezuela n’est pas à vendre».Quant au référendum prévu pour le 15 août, Chavez a affirmé que dire NON au révocatoire (impulsé par l’opposition et qui prétend l’éloigner du pouvoir) signifie s’opposer à l’impérialisme, aux bradeurs de patrie, à ceux qui prétendent s’emparer du pouvoir pour s’enrichir et «jeter le peuple dans l’oubli».DES PARAMILITAIRES COLOMBIENS ARRÊTÉS DÉNONCENT DES COLLABORATEURS VÉNÉZUÉLIENSLa magistrature militaire a informé que 14 paramilitaires arrêtés le 9 avril dernier ont accepté de collaborer aux enquêtes et révélé les noms de quelques-unes des personnes —tant civils que militaires— impliquées dans le plan de destabilisation et qui ont aidé à introduire dans le pays et à préparer militairement ces éléments étrangers.Le colonel de la Garde nationale du Venezuela, Jesus Castro Yelles et le capitaine de ce même corps, Francisco Javier Nieto, ont été incriminés, et le ministère public a accusé les deux officiers de délit de rébellion, pour lequel ils seront jugés par les tribunaux militaires.Selon la législation militaire en vigueur, «rébellion» signifie aide ou soutien à tout mouvement armé pour altérer la paix intérieure de la République ou pour empêcher ou entraver toute action du gouvernement. (Source: Prensa Latina) http://www.granma.cu/frances/2004/julio/vier2/27venez.html