mardi 20 juillet 2004

La presse algérienne bâillonnée

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----- Original Message -----
From: Cherif BOUDELAL
Sent: Thursday, July 15, 2004 1:49 PM
Subject: La presse algérienne bâillonnée


 
Merci à l'équipe rédactionnelle de bien vouloir publier le texte ci-dessous
 
La presse algérienne bâillonnée
La loi qui vient d’ête adoptée par le gouvernement algérien (le 30 juin 2004), limitant la liberté de la presse est un aveu du régime en faillite. Par cette décision, il a montré aux citoyens et à l'opinion internationale que la démocratie dont il s'est venté de respecter lors des campagnes électorales précedentes, n'était que de la poudre aux yeux. La condamnation et l'emprisonnement récemment de deux journalistes est un message adressé au reste des journalistes algériens qui auraient l'imprudence de s'aventurer sur un terrain gissant pour fuiner dans les rouages de l'Etat pour dénoncer la corruption des gouvernants. Le directeur du quotidien « Le Matin », Mohamed Benchicou, a été le bouc émissaire de ce prélude d'un début de repression à visage découvert du pouvoir. Il a été condamné à deux ans de prison fermes, officiellement pour "infraction au contrôle des changes". En réalité, la cause est ailleurs; le directeur de quotidien « Liberté » est l’auteur d’un ouvrage intitulé « Une imposture algérienne », sans lequel il dénonce le bilan catastrophique de la politique de Bouteflika. Tous les moyens sont bons pour agréer l’imposture !
 Après la censure, la suspension des journaux et le chantage envers les journalistes, voire l'assassinat d'un certains nombre d'entre eux, dont les auteurs sont restés mystérieusement introuvables et/ou inconnus dans la plupart des cas, le régime procède aujourd'hui à l’empisonnement de ceux parmi eux qui osent dénoncer sa politique. Lorsqu’un régime ne veut pas que les journalistes informent les citoyens de ce qui se passe dans les rouages de l'Etat, c'est qu'il a quelque chose à se reprocher. Pour se protéger des « fuites » d’informations venant de l’étrager, qui pourraient réveiller les citoyens somenelants, le régime algérien a interdit plusieurs chaînes de télévision arabes qui ouvrent leurs plateaux aux débatx contradictoirex auxquels des opposants au régime algéroen s’expriment librement. Après la MBC et Al Arabiya, Al Jazira vient d'être frappée par la censure de la "démocratie" Bouteflikienne. La censure et la repression contre les journalistes révèle la faiblesse de ce régime qui se démasque lui-même et montre aux citoyens son mépris à démocratie et à la liberté d'expression, qu'il prétend par aillers respecter.
 La fin justifie les moyens
Les défauts, les lacunes, la corruption et le dysfonctionnement des administrations d’un pouvoir poussent ses dirigeants à reprimer les citoyens qui s'en indignent, et notament ceux qui sont en mesures de démasquer ses défauts et en informer l'opnion. Quand un régime incarne tous les vices (la corruption materielle et morale, l'incompétence pour gérer le pays, etc.) et se voit dénoncé et montré du doigt, il devient féroce et tend à utiliser la dictature, non seulement contre les journalistes mais aussi contre l’ensemble de la société civile qui lui demande des comptes. La fin justifie les moyens.
C’est le cas des militaires qui ont gouverné leurs pays avec une main de fer dans certains pays d’Amérique latine, en Afrique, en Asie où il est coutumier d’arriver au pouvoir par des coups d’Etat militaires; ou encore en Grèce du temps des généraux. Ces régimes totalitaires bradent les richesses de leurs pays aux puissances protectrices de leurs régimes et plongent leurs peuples dans une misère « blanche ». Non seulement ils réprimaient, et répriment encore leurs propres peuples, mais ils se vendent aux puissances en échange de leur protection contre leurs concitoyens. Ce qui n’est pas tout à fait le cas à nos jours en Algérie où certains des charognards qui tirent les ficelles ou contrôlent les forces repressives du pouvoir et pillent la richesse du pays, ont une certaine fierté vis-àvis de l’impérialisme qu’ils ont, pour la plupart d’entre eux, combattu. Mais leurs héritiers qui poursuivent la tâche sombre de leurs généteurs, ont une autre mentalité, et la fierté n’a pas de place devant le profit.
 
Les président-rois
Les présidents arabes sont tous des rois ! Le qualificatif du « président » n’est qu’une mascarade qui ne trompe personne. Et pour élustrer cet argument, voici quelque exemples : Ben Ali en Tunisie, Mobarak en Egypte, Kadafi en Libye (pour ne citer que ceux-là) se sont tous autoproclamé présidents. Certains d’entre eux, ont fait des simulacres d'élection présidentielle, tout en utilisant la repression « démocratique » la plus atroce contre leurs cocitoyens. Et pour s’assurer une protection infaillible et une dynastie familiale, ces présidents-rois préparent leurs enfants à la succession après leur disparition. C’est le cas de Hafaz El Assad (Assad signifie lion en arabe, le roi de la jungle !) dont le fils a pris le pouvoir après la mort de son papa. C’est le cas de Hosni Moubarak (avec sa baraka son fils sera président-roi, sachant que le fiston est le président du parti au pouvoir et, bien sûr, le trône de son papa lui revient de « droit ») ; Kadafi fait de même, etc. Le monde arabe n’a, pour le moment, que des rois et des présidents-rois autoproclamés.
Quant à Bouteflika (dont le nom signifie « le fracasseur »), n’a pas d’enfant; donc pas de successeur linéaire; alors il tire les ficelles pour aligner derrière lui les vieux renards, civils et lilitaires, mais surtout militaires, pour arranger sa « victoire » dans toutes les circonstances. Les peuples, quant à eux, sont des sujets ou des citoyens-sujets qui subissent toutes les foudres des pouvoirs en place, à l’exception des applaudisseurs.

La nature même d’un tel système politique oblige les régimes à utiliser la force pour garder le pouvoir le plus longtemps possible, car leur vie en dépend. Et quand un régime n’a pas l’héritage « prophétique » il invente un simulacre de démocratie et organise des élections pour se donner une légitimité pour régner. Et dans ce genre de « démocratie », la fraude « légale » est de rigueur. Ainsi, ils espèrent convaincre leurs peuples qu’ils exercent leur pouvoir de façon légale, voire plus que légale, puisque dans ce gerne de « démocratie, le président est souvent élu avec plus de 99% de voix ! Bourguiba avait, au moins la franchise de se proclamer président à vie. Les dirigeants s’accrochent au pouvoir pour garantir leur sécurité, en tirant le plus d’avantage possible; ils ont peur d'être rattrapés un jour par la justice de leur pays, car si la démocratie est réellement engagée, et que le pouvoir leur échappe, ils risquent de se retrouver sur le banc des accusés.
 
Un fils spirituel qui a perdu son esprit
Quant au cas de Bouteflika, président en exercice en Algérie depuis 1999, il n'a pas assez gouverné pour céder aussi facilement le pouvoir de façon démocratique. Il veut faire, au moins, autant que les autres pour apaiser sa soiffe du pouvoir, qui lui avait échapé en 1979. Et d’abord il prend sa revanche contre ceux qui l’ont écarté et « subtilisé » la présidence alors qui le voulait absolument. Se considérant comme étant le « fils spirituel » du feu Boumediene, il voulait prendre sa succession après la mort de ce dernier. Un fils spirituel qui, à l’évidence, a perdu son esprit en trahissant les principes du maître qu’il vénérait. Alors que le monde entier l’a vu pleuré la mort de son maître spirituel en lisant le message élogieux d’adieu face à son cercueil, il a comlétement dévié de la voie de celui-ci dès qu’il a été enterré, après avoi été sûr qu’il ne se réveillait pas.
Si les journalistes sont exposés à la censure, au chantage et à la repression en Algérie aujourd’hui, c'est parce que leur plume est dangereuse pour le pouvoir en place. Les journalistes et les intellectuels sont, en effet, les plus vulnérables dans les pays aux régimes totalitaiires, car ils sont les plus à même de démasquer la corruption, l'incompétence et la dérive des dirigeants, car ils peuvent donner une prise de conscience aux peuples qui subissent les conséquences des politiques catastrophiques de leurs régimes corrompus et incompétents.
 
L’américanisation de l’Algérie
Maintenant, Bouteflika est en train d'« américaniser » l'Algérie, en y introduisant leurs multinationales et envisageant des « coopérations » militaires US, qui mettront fin à son indépendance. Il n’est pas impossible, en effet, que les USA installent des bases militaires dans les années à venir en Algérie. Pour arriver à s’introduire militairement en Algérie - mais aussi partout ailleurs en Afrifque où existent des matières premières (voir « Le Monde diplomatique » de juillet 2004) - les USA veulent entraîner l’Algérie à adhérer d’abord à l’OTAN pour l’occuper ensuite. Une fois celle-ci dans l’engrenage, les USA justifieront leur présence sur le sol algérian sous préterxte de lutter contre le « terrorisme international », terrorisme qu’ils céent eux-mêmes quand il n’existe pas. C’est ce qu’ils ont fait en Afghanistan et en Irak où les bases militaires ne sont pas prêtes à être démentelées, mais plutôt renforcées.

Cette politique de « bradage » du pays, n'est pas digne de quelqu'un qui a été pendant 13 ans ministre de Boumediène. C'est une insulte à la mémoire de Boumediene qui a le chef de fil des ppays du tiers-monde qui a osé affronter l'impérialisme US, et tous les autres impérialismes pour les libérer de leur domination. L’Alrégir était un modèle en matière de développement le plus envié dans le monde, et ce dans plusieurs domaines, qu’ils soient sociaux, politiques, économiques, industriels, culturels, scientifiques, que dans le domaine de l’enseignement. Pour ne prendre que ce dernier exemple, en 1980 l’Algérie disposait déjà de 48 universités et centres universitaires; elle s’auto-sufisait déjà en cadres destinés à remplacer les « ccoopérants » - les migrant venant de l’Occident ne sont pas appelés immigrés comme ceux du tiers-mondes qui émigrent en Occident, l’esprit colonial oblige ! C’est grâce à sa libération totale, aussi bien politique qu’économique, que l’Algérie a pu réaliser ces acquis, que les charognards d’après Boumediene ont volés, détruis, et vendu le reste des richesses algériennes aux miltinationales, qui sont venues en force dans le pays et ce, après avoir été interdites de séjour.
 
 
La dérive politique du pouvoir algérien
Après la mort de Boumediene en novembre 1978, ses successeurs ont entraîné le pays dans une guerre civile et mené le pays à la faillite. Abdelaziz Bouteflika qui, après une quinzaine d’années d’exil volontaire, avait fait des promesses au peuple algérien lors de sa première campagne présidentielle, à savoir l'instauration de la paix et de la démocratie dans le pays. Non seulement il n’a pas tenu ses promesses, mais il a fait le contraire de ce qu’on attendait de lui, aussi bien dans sa politique intérieur qu’extérieure. Sur le plan intérieur, il multiplie la repression contre les contestataires de sa politique et tente de museler la presse qui dénonce la corruption de son administration et la dérive de sa politique. Sur le plan extérieur, il a remis en cause tous les acquis politiques et économiques que l’algérie avait chèrement réalisés avant les années 1980.
 En avril 1974, lors de la présidence l’assemblée des nations unies par l’Algérie, celle-ci avait organisé une conférence sur les matières premières. Boumediene en personne avait prononcé un long discours à la tribune de l’ONU pleine à craquer. Un discours qui se voulait à la fois conciliateur mais ferme. Après avoir adressé un réquisitoire, le président algérien avait rappelé à l’assistance le pillage des richesses des pays du tiers-monde par les sociétés multinationales des pays développés, qui s’en réchissent de plus en plus alors que les peuples propriétaires de ces mêmes richesses sont de plus en plus pauvres. Le président algérien avait alors proposé aux pays industrialisés de payer les matières premières des pays producteurs à leur juste prix, et à considérer les pays du tiers-monde comme leurs partenaires sur le même pied d’égalité, et non pas comme leurs subaltèrenes.
 Boumediene avait prédit, lors de ce discours-là, ce qui se passe aujourd’huit en Occident. Il s’est adressés aux représentants de ces pays en leur disant que si les pays développés continuaient à appauvrir les peuples du tiers-monde, ces derniers étant affamés s’exileront verts les les pays riches pour y travailler et nourrir leurs familles, et à ce moment là ils ne pourront rien faire pour les en empêcher, car pour eux ce sera une question de vie ou de mort, et l’histoire lui a donné raison. Maintenant, certains politologues et écrivains ocidentaux citent son discours comme référence, pour dire aux dirigeants de ces pays impérialistes qu’ils n’avaient pas su saisir l’opportunité, à l’époque, pour changer leur « ordre économique mondial » dévastateur; qu’ils auraient dû œuvrer plutôt pour aider les pays du tiers-monde à se développer au lieu de piller leurs richesses, comme le leur avait proposé le président algérien. En nationalisant les sociétés pétrolières étrangères en 1971, l’Algérie a entraîné derrière elle beaucoup de pays qui ont fait autant; son exmeple a révolutionné les montalités des dirigeants du tiers- monde. Cela lui a valu la sympathie des peuples mais a déclencché la colère de ses advresaires qui ont tenu réguer à son président, et ils ont fini par l’avoir.
 
 
L’Algérie était debout, et elle est carément à plat ventre
L’Algérie était si fière de sa Révolution, de ses Acquis sociaux, de son statut au sein des nations et de son influence à travers le monde. Uneinfluence due à la justesse de sa politique extérieure qu’elle menait contre l’impérialisme nouveau qui occupe les pays du tiers-monde à travers ses multinationales qui pillent leurs richesse, mais aussi à travers les bases militaires qui menacent à tout moment leur suveraineté. Elle se distinguait par sa lutte contre la domination étrangère, pour l'émancipation de son peuple et de ceux des pays du tiers-monde. Elle jouait un rôle essentiel au sein des institutions internationales telles l’OPEP, l’organisation des pays non-alignés, l’ONU, l’OUA ou la Ligue arabe. Elle avait déployé un effort considérable pour inciter les pays du tiers-monde à disposer eux-mêmes de leurs richesses naturelles usurpées par les sociétés multinationales des prédateurs assoiffés, qui affamaient et affament encore les peuples en pillant leurs richesses. Beuacoup de ces pays du tiers-monde avaient suivi l’exemple de l’Algérie en nationalisant les sociétés étrangères opérant chez eux. L’Algérie jouissait d’une popularité internationale. Malgré la pression des impérialistes-prédateurs, elle était debout face à eux, car forte de sa légitimité de disposer de ses richesse et de défendre le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et de leurs richesses, conformément aux lois internationale et aux résolutions des nations unies. Mais, aujourd’hui, elle est carément à plat ventre, couché à même le sol, traînée dans la boue par ceux qui ont trahi les principes qui étaient les siens.
 Pour connâitre la santé d’une société, il suffit de prendre la température de la politique menée par ceux qui la dirigent; et pour connaître la valeur morale d'un régime, notamment lorsque le pays regorge de richesses naturelles, comme est le cas de l'Algérie, il suffit de connaître la valeur de sa devise. La valeur d’un homme se mesure par son comportement, sa parole donnée et se ppprincipes moraux. La valeur d’un dirigeant d’un pays se compare, en plus de ces trois vertus fondamentales, à celle de sa monnaie. A titre d’exemple, lors de la mort (ou assassinat, que sais-je ?) de Boumediene, le dinar algérien valait 1,55FF. Depuis le début des années 1980, la monnaie algérienne n'apas céssé d’être dévaluée; et en l’an 2000 1FF faisait déjà 10 DA (cours officiel), et plus de 15 DA sur le marché parallèle! Une telle dévaluation monnaitaire est comparable à la dévaluation morale d’un pouvoir qui accourt à la repression de son peuple pour cacher sa corruption et son incompétence à gérer le pays et offrir à son peuple ce dont il a besoin, voire sa dignité. Et quand on observe les dirives du pouvoir, il ne faut pas s’attendre à des miracles en matière de démocratie en Algérie. Bref, la situation de l’Algérie d’aujourd’hui est dramatique sur tous les plans. On peut la comparer à une proie sans défense entre les griffes des charognards.
 L’Algérie qui était debout face à ses détracteurs, qui voyaient en sa politique de décolonisation politique et économiqe la fin de leur domination, est aujourd’hui à genou et fait pétié aux plus ptits de ce monde. Sa chute paraît comme une victoire aux ennemis de l'émancipation et de la liberté des peuples. Sa chute est ressentie comme une humiliation par chaque algérien et chaque Algérienne dignes de ce pays. Les Algériens ont fait la différence entre la valeur de leur monnaie et celle des hommes qui l’ont gouverné avant et après les années 1980. Ils ont fortement senti la différence et compris qu’un seul homme peut changer, en bien ou en mal, la vie de tout un peuple. Oui, il n’y a aucune comparaison entre le Président Haouari Boumediene et ceux qui lui ont succédé. Le premier avait tout donné pour son pays et au service de son peuple, mais les arrivistes qui ont pris le pouvoir après lui ont pillé le pays et humilié le peuple, à la grande satisfaction de ses ennemis.
L’emprisonnement des journalistes et des syndicalistes dans les pays arabes, comme l’Algérie, le Maroc, la Tunisie ou l’Egypte, mais aussi partout ailleurs, est l’exemple type des régimes corrompus et totalitaires qui voient en la prise de conscience de leurs peuples la fin de leur règne. On peut attribuer cela au fait que la culture démocratique dans dsns ces pays-là est encore embrayonnaire; mais la gestation de cet embrayon est en cours de maturation et risque de faire exploser la tête de tous « les fracasseurs » et celle des fauves féroces qui lynchent leurs victimes, du Maghreb au Machrak, et débarrasser les peuples de leur dispotisme.
 
Chérif Boudelal
 

Liste dédiée à l'Intifada et à la Juste Cause du peuple palestinien. Lecture intéressante : Connaître le vrai visage d'Israël et du lobby sionise mondial tentaculaire, c'est se doter des armes efficaces pour les combattre, combattre leur idéologie et les vaincre. Le Collectif "Paix Comme Palestine" propose la lecture des ouvrages suivants: 1- "Le sionisme en Palestine/Israël, fruit amer du judaïsme", d'André Gaillard, éd. Bénévent-, 2004  (au profit d’une association d’aide aux enfants palestiniens.) 2- « L’industrie de l’Holocauste », réflexion sur l’exploitation de la souffrance des juifs », de Norman G.Finkelstein, éd. La fabrique, 2000 - traduction française 2001. 3- « Est-il permis de critiquer Israël ? »,, 2004 de Pascal Boniface, éd. Robert Laffont, 2003.                 4- L'autre visage d'Israël (d'Israël Adam Shamir), version française éditée par les éditions Kalam, 2004.